Poésies de Renethil

Je posterais mes poésies ici.

Voici la première :

Déserté

J'errais au coeur de Fimiro, le grand désert,
En quète de pouvoir, je m'aventurais là,
Prèt de l'Oasis, j'entendais des bruits de fer,
Proche de moi marchaient des soldats en combat.

Dans ces grandes colones de sable, sans mer,
Je marchais dans cet endroit, sans savoir pourquoi,
Peut-être était-ce une façon de voir ma mère,
Morte en ces lieux, autrefois, elle me protégea.

Cette nuit fût tiède, des grains dans mes bottes,
Me ralentissant comme de grandes menottes.
Cette forte odeur de chaleur m'est exquise.

Ma vieille mère, morte dans cet entrepôt,
Assasinée par ces misérables escrocs.
Aujourd'hui calmement, je suis le vent, la bise.

En voici une deuxième :

la Mort

Un homme avance vers moi le regard haineux,
Sans coeur ni pitié, il paraît né dans le feu,
Un Démon incarné, le contraire des Dieux,
Il s'approche et dans sa main j'apperçois un pieux.

Il est très proche de moi, je vois ses naseaux,
fumants comme un feu, l'homme a l'air d'être un teaurau.
Le temps de voir son visage meurtri de sanglots
avant de voir ma blessure, mon sang coule à flots

Cela m'a étonné de ne pas voir la troisième poésie que j'avais faite, étant donné que c'est celle dont jesuis le plus fier.
La voici donc :

La Bataille d'Arasha

C'était une magnifique journée d'été,
En écoutant, on pouvait entendre les fées.
Concquérants des immenses plaines d'Arasha,
Les soldats de Bongas revenaient des combats.

Certains portaient des blasons sur leurs bras armés,
D'autres rejoignaient leur femme et les êtres aimés,
Mais aucuns de parvenaient à cacher sa peine,
En eux subsistaient de bien trop horribles scènes.

Le soleil filtrait à travers les hauts nuages,
Les soldats revenus posaient leurs bagages,
Certains combattants mangeaient, les autres allaient boire.

Une athmophère agréable régnait ici,
La guerre ne fut pas achevée mais ce jour ci,
Bongas eut acquis une grande victoire.
Tshiki

Les Isles Aïsques

J'étais là, au sommet du mât de mon bâteau,
Là sur les flots gelés de l'Océan Felgiean,
Je voguais sur les ondes, dirigeant mon vaisseau,
Assaillit par l'écho du déluge strident.

Déchirant les vagues qui remuaient ces eaux,
La proue de mon navire fuyait hâtivement
Le froid proverbial réduisant en lambeaux
Les voiles élevées, et battues par le vent.

Nous, malingres marins, contre ces entités,
Que pouvions-nous faire, mis à part constater
De nos yeux ébahis, leurs forces légendaires.

Attendant patiemment, l'arrivée à un port,
Pour enfin s'échapper, de notre triste sort.
Nos espoirs furent vains : les flots nous dévorèrent.
Tshiki

BI2 GUO2 PR T2 PO2SI !

DEXUime asertivement, mé malgrai tou g t lese ancor 1 chanse vu ke t admin

Nouvelle poésie ajoutée : les Isles Aïsques.

Ca veut dire quoi malingres x) ?

De faible constitution (en gros ça veut dire chétif, faible physiquement quoi).